Près du tiers l'ont fait de trois à cinq fois, et deux Canadien sur dix l’ont fait plus de six fois.
S’ils choisissent de ne pas s’absenter c’est surtout pour respecter des dates d'échéance imminentes (61%), prévenir l'accumulation du travail (55%) ou éviter la surcharge de travail auprès de leurs collègues (49%). Certains avouent aussi craindre d'être mal jugés si absents du travail (41%) ou ne pas vouloir perdre une partie de leur revenu (40%).
Ce sondage que Desjardins Sécurité financière publie à quelques jours de la Semaine nationale de la santé mentale qui se tiendra du 5 au 11 mai 2008, met en exergue l’équilibre délicat entre santé mentale et vie professionnelle.
Vivant dans un environnement qu’ils disent être de plus en plus stressant, neuf travailleurs sur dix croient que les problèmes de santé mentale liés au stress, tels que l'épuisement professionnel (burn-out), la dépression et l'anxiété, s'accentuent au fil des ans.
Se prendre en main
Manque de reconnaissance, surcharge de travail et contacts réduits avec leurs collègues caractérisent ces environnements dans lesquels les Canadiens prennent de moins en moins part aux décisions touchant leur travail.
Cependant, l’environnement de travail n’est pas la raison première des absences liées à la santé mentale. Les problèmes d'argent et les questions de santé sont aussi les facteurs principaux de stress.
Les employeurs et les Canadiens dans leur ensemble prennent peu à peu conscience de leur part de responsabilité dans la santé mentale de leurs collègues. Avoir vu un collègue s’absenter pour des raisons de santé mentale les emmène à être plus compatissants et à réfléchir sur leur propre équilibre personnel. Quant aux employeurs, ils ont aussi évolué dans le sens de l’écoute et de l’ouverture. Et les travailleurs le remarquent. Deux tiers d’entre eux des travailleurs estiment que leurs patrons se préoccupent de leur mieux-être.
« Il est évident que l'attitude des entreprises et des travailleurs à l'égard de la santé
mentale a énormément évolué», dit le Dr. Taylor Alexander, directeur de
l'Association canadienne pour la santé mentale. Même s’il reste encore du chemin à parcourir.
S’ils choisissent de ne pas s’absenter c’est surtout pour respecter des dates d'échéance imminentes (61%), prévenir l'accumulation du travail (55%) ou éviter la surcharge de travail auprès de leurs collègues (49%). Certains avouent aussi craindre d'être mal jugés si absents du travail (41%) ou ne pas vouloir perdre une partie de leur revenu (40%).
Ce sondage que Desjardins Sécurité financière publie à quelques jours de la Semaine nationale de la santé mentale qui se tiendra du 5 au 11 mai 2008, met en exergue l’équilibre délicat entre santé mentale et vie professionnelle.
Vivant dans un environnement qu’ils disent être de plus en plus stressant, neuf travailleurs sur dix croient que les problèmes de santé mentale liés au stress, tels que l'épuisement professionnel (burn-out), la dépression et l'anxiété, s'accentuent au fil des ans.
Se prendre en main
Manque de reconnaissance, surcharge de travail et contacts réduits avec leurs collègues caractérisent ces environnements dans lesquels les Canadiens prennent de moins en moins part aux décisions touchant leur travail.
Cependant, l’environnement de travail n’est pas la raison première des absences liées à la santé mentale. Les problèmes d'argent et les questions de santé sont aussi les facteurs principaux de stress.
Les employeurs et les Canadiens dans leur ensemble prennent peu à peu conscience de leur part de responsabilité dans la santé mentale de leurs collègues. Avoir vu un collègue s’absenter pour des raisons de santé mentale les emmène à être plus compatissants et à réfléchir sur leur propre équilibre personnel. Quant aux employeurs, ils ont aussi évolué dans le sens de l’écoute et de l’ouverture. Et les travailleurs le remarquent. Deux tiers d’entre eux des travailleurs estiment que leurs patrons se préoccupent de leur mieux-être.
« Il est évident que l'attitude des entreprises et des travailleurs à l'égard de la santé
mentale a énormément évolué», dit le Dr. Taylor Alexander, directeur de
l'Association canadienne pour la santé mentale. Même s’il reste encore du chemin à parcourir.