Le bien-être au travail : une priorité pour les travailleurs
Selon les conclusions de l’étude, le milieu de travail demeure l’un des principaux points de stress. La moitié des employés ont indiqué que les exigences psychologiques associées à leur emploi actuel ont d’ailleurs augmenté.
« Ce qui fonctionnait auparavant n’est plus gage de succès. La santé mentale n’est plus un sujet aussi tabou qu’avant, et les employés accordent non seulement la priorité à celle-ci, mais ils s’attendent à ce quel leur employeur en fasse autant »
Aucun travailleur n’est vraiment à l’abri des problèmes de santé mentale. Il n’y a pas non plus de moment plus propice pour en être atteint. En revanche, s’il existe une stratégie efficace en matière de santé mentale, il est possible de prédire la facilité avec laquelle une organisation va en endiguer les répercussions en milieu de travail et soutenir les employés à risque.
Nous constatons que le milieux de travail tendent à inclure la santé mentale dans les discussions normales. Mais il reste à faire beaucoup de choses encre, puisque la plupart des organisations n’ont aucune politique en place. « Ce n’est pas par manque de volonté de leur part, mais parce qu’elles ne savent pas par où commencer. »
« Ce qui fonctionnait auparavant n’est plus gage de succès. La santé mentale n’est plus un sujet aussi tabou qu’avant, et les employés accordent non seulement la priorité à celle-ci, mais ils s’attendent à ce quel leur employeur en fasse autant »
Aucun travailleur n’est vraiment à l’abri des problèmes de santé mentale. Il n’y a pas non plus de moment plus propice pour en être atteint. En revanche, s’il existe une stratégie efficace en matière de santé mentale, il est possible de prédire la facilité avec laquelle une organisation va en endiguer les répercussions en milieu de travail et soutenir les employés à risque.
Nous constatons que le milieux de travail tendent à inclure la santé mentale dans les discussions normales. Mais il reste à faire beaucoup de choses encre, puisque la plupart des organisations n’ont aucune politique en place. « Ce n’est pas par manque de volonté de leur part, mais parce qu’elles ne savent pas par où commencer. »
Pourquoi construire une politique de bien être au travail.
Améliorer les conditions de travail et préserver la santé et la sécurité impliquent l’engagement de l’employeur, de la ligne hiérarchique et des travailleurs.
La transparence repose sur des objectifs clairs, un engagement et une action au quotidien ; mais aussi sur une prise en compte de la réalité des situations de travail au moyen d’une analyse de l’activité ; et enfin sur une communication « santé et sécurité » adressée à toutes les personnes concernées.
Gérer la santé et la sécurité au travail a des avantages multiples. Pour les travailleurs, cette gestion a un impact sur leurs conditions de travail et sur les relations sociales au sein de l’entreprise, et donc elle agit sur la satisfaction au travail, la qualité du service, etc. Par ailleurs, pour l’organisme, gérer la santé et la sécurité permet de limiter les coûts directs et indirects en cas d’accident du travail et de maladie professionnelle.
La démarche participative dans les petites structures permet d’aborder les problèmes les plus évidents par le biais des connaissances de terrain. L'élaboration d'une politique de bien-être sur papier ne constitue toutefois pas le seul but en soi ; elle doit en effet être transposée dans la pratique et expliquée. L’élaboration d’une politique de sécurité sur papier ne constitue toutefois pas le seul but en soi ; elle doit en effet être transposée dans la pratique et appliquée.
La transparence repose sur des objectifs clairs, un engagement et une action au quotidien ; mais aussi sur une prise en compte de la réalité des situations de travail au moyen d’une analyse de l’activité ; et enfin sur une communication « santé et sécurité » adressée à toutes les personnes concernées.
Gérer la santé et la sécurité au travail a des avantages multiples. Pour les travailleurs, cette gestion a un impact sur leurs conditions de travail et sur les relations sociales au sein de l’entreprise, et donc elle agit sur la satisfaction au travail, la qualité du service, etc. Par ailleurs, pour l’organisme, gérer la santé et la sécurité permet de limiter les coûts directs et indirects en cas d’accident du travail et de maladie professionnelle.
La démarche participative dans les petites structures permet d’aborder les problèmes les plus évidents par le biais des connaissances de terrain. L'élaboration d'une politique de bien-être sur papier ne constitue toutefois pas le seul but en soi ; elle doit en effet être transposée dans la pratique et expliquée. L’élaboration d’une politique de sécurité sur papier ne constitue toutefois pas le seul but en soi ; elle doit en effet être transposée dans la pratique et appliquée.
Consultation du CSE dans le cadre des conditions de travail.
Les décisions prises par l’employeur doivent faire l’objet d’une consultation préalable du Comité social et économique. L’employeur est alors tenu de recueillir l’avis motivé et argumenté des élus du CSE lorsque celui-ci doit être consulté.
Afin de procéder efficacement à son rôle de consultation, l’employeur est tenu de communiquer au CSE les informations précises concernant les décisions qu’il souhaite prendre. A ce titre, la procédure d’information et de consultation est encadrée par des délais spécifiques.
Conformément à l’article L.2312-15 du Code du travail, le CSE doit disposer d’un délai d’examen suffisant.
A défaut d’accord, la procédure d’information et de consultation est encadrée par des délais fixés à : 1 mois pour une consultation « simple » ; 2 mois en cas d’intervention d’un expert ; 3 mois en cas d’intervention d’une ou plusieurs expertises dans le cadre de consultations se déroulant au niveau du CSE central et du CSE d’établissement. Ces délais commencent à courir à compter de la transmission des informations précises et écrites nécessaires à l’information et à la consultation du CSE.
A l’expiration des délais évoqués précédemment, le Comité social et économique est réputé avoir été consulté et avoir rendu un avis négatif.
Conformément aux dispositions prévues aux articles L.2312-17 à L.2312-36 du Code du travail, le CSE doit obligatoirement être consulté sur les thèmes suivants : les orientations stratégiques de l’entreprise et sur leurs conséquences sur l’activité, l’emploi, l’évolution des métiers et des compétences, l’organisation du travail, le recours à la sous-traitance, à l’intérim,… sa situation économique et financière : porte sur la politique de recherche et de développement technologique de l’entreprise. sa politique sociale, les conditions de travail et l’emploi : cette consultation porte sur l’évolution de l’emploi, les qualifications, le programme pluriannuel de formation, l’apprentissage, les conditions d’accueil en stage, les actions de prévention en matière de santé et de sécurité, les congés, la durée du travail,… Le CSE est donc consulté sur ces thématiques lorsqu’il n’y a pas d’accord d’entreprise. Par conséquent, nous ne pouvons que vous préconiser de suivre une formation sur la consultation du CSE dans le cadre des conditions de travail.
Afin de procéder efficacement à son rôle de consultation, l’employeur est tenu de communiquer au CSE les informations précises concernant les décisions qu’il souhaite prendre. A ce titre, la procédure d’information et de consultation est encadrée par des délais spécifiques.
Conformément à l’article L.2312-15 du Code du travail, le CSE doit disposer d’un délai d’examen suffisant.
A défaut d’accord, la procédure d’information et de consultation est encadrée par des délais fixés à : 1 mois pour une consultation « simple » ; 2 mois en cas d’intervention d’un expert ; 3 mois en cas d’intervention d’une ou plusieurs expertises dans le cadre de consultations se déroulant au niveau du CSE central et du CSE d’établissement. Ces délais commencent à courir à compter de la transmission des informations précises et écrites nécessaires à l’information et à la consultation du CSE.
A l’expiration des délais évoqués précédemment, le Comité social et économique est réputé avoir été consulté et avoir rendu un avis négatif.
Conformément aux dispositions prévues aux articles L.2312-17 à L.2312-36 du Code du travail, le CSE doit obligatoirement être consulté sur les thèmes suivants : les orientations stratégiques de l’entreprise et sur leurs conséquences sur l’activité, l’emploi, l’évolution des métiers et des compétences, l’organisation du travail, le recours à la sous-traitance, à l’intérim,… sa situation économique et financière : porte sur la politique de recherche et de développement technologique de l’entreprise. sa politique sociale, les conditions de travail et l’emploi : cette consultation porte sur l’évolution de l’emploi, les qualifications, le programme pluriannuel de formation, l’apprentissage, les conditions d’accueil en stage, les actions de prévention en matière de santé et de sécurité, les congés, la durée du travail,… Le CSE est donc consulté sur ces thématiques lorsqu’il n’y a pas d’accord d’entreprise. Par conséquent, nous ne pouvons que vous préconiser de suivre une formation sur la consultation du CSE dans le cadre des conditions de travail.